Programme de physique - chimie - Première S
" Programme de physique - chimie - Classe de première S. Ministère de l'Éducation nationale. Direction générale de l'enseignement scolaire "
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PROGRAMME DE PHYSIQUE
I - Les interactions fondamentales
(Durée indicative : 3 heures, 1 TP)
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Illustrer par des études documentaires*, le fait que, du noyau atomique jusqu’aux systèmes astronomiques, la matière peut être considérée comme constituée de neutrons, protons et électrons.
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1 - Particules élémentaires
Les constituants de la matière : neutrons, protons, électrons.
Charge élémentaire.
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Savoir que toute charge électrique est multiple d’une charge élémentaire.
Connaître l’ordre de grandeur du rapport des masses du nucléon et de l’électron.
Connaître l’ordre de grandeur du rayon d’un atome et d’un noyau.
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Observer et interpréter, à l’échelle atomique, les phénomènes tels que :
- l’électrisation par frottement,
- l’attraction et la répulsion d’objets,
- le caractère conducteur ou isolant de certains matériaux.
Observation sur une carte (N, Z) du domaine d’existence des noyaux atomiques.
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2 - Interactions fondamentales
- La masse et l’interaction gravitationnelle ; loi de Newton.
- Les charges et l’interaction électrique ; loi de Coulomb ; direction, sens, valeur :
F = kqq’/d2 avec k ≅ 9 x 109 SI.
Phénomènes d’électrisation.
Isolants. Conducteurs ; porteurs de charge : électrons et ions.
- Les nucléons et l’interaction forte.
Deux interactions à l’oeuvre dans le noyau : la répulsion coulombienne entre protons compensée, jusqu’à l’uranium, par une interaction attractive intense mais de courte portée.
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Réaliser et interpréter des expériences simples mettant en jeu des phénomènes d’électrisation.
Connaître et savoir appliquer la loi de Coulomb.
Savoir que dans un métal, une fraction des électrons est libre de se déplacer dans tout l’échantillon, alors que dans un isolant les déplacements des charges sont inférieurs à la taille atomique.
Savoir qu’au niveau du noyau s’exercent deux types d’interactions dont les effets sont opposés.
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Comparaison des interactions électriques et gravitationnelle pour le système électron-proton.
Discuter pourquoi l’interaction gravitationnelle est prédominante en général à l’échelle macroscopique.
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3 - Interactions et cohésion de la matière à diverses échelles
Échelle astronomique
Échelle atomique et humaine
Échelle du noyau
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Savoir que la cohésion de la matière est assurée par :
- l’interaction gravitationnelle à l’échelle astronomique,
- l’interaction électromagnétique à l’échelle des atomes, des molécules et de la matière à notre échelle,
- l’interaction forte à l’échelle du noyau.
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II - Forces, travail et énergie
(Durée indicative : 18 heures, 6 TP)
A - Forces et mouvements
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Observation du mouvement du centre
d’inertie.
Observation des mouvements des autres
points (vidéos, chronophotographies,
etc.)*
Réalisation et exploitation d’enregistrements
: table à coussin d’air, table à
digitaliser, vidéos-capteurs chronocinés*,
etc.
Détermination de vecteurs vitesses à
partir d’enregistrements.
Étude du mouvement du centre d’inertie
d’un solide dans diverses situations
(projectiles, satellites).
Recherche de forces sur des exemples
variés (expériences, vidéos, logiciels,
etc.)*.
Utilisation du principe d’inertie pour
analyser les forces qui agissent sur un
solide, en mouvement ou non.
Mettre en relation la variation du vecteur
vitesse VG d’un mobile avec la
somme des forces appliquées dans des
situations simples et variées.
Expliquer pourquoi il y a des ceintures
de sécurité dans les voitures.
Analyser comment le principe d’inertie
s’applique à un véhicule qui monte une
côte rectiligne à vitesse constante.
Expliquer le rôle des roues motrices et
du sol dans le mouvement d’une voiture.
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1 - Mouvement d’un solide indéformable
1.1 Vecteur vitesse d’un point du solide
1.2 Centre d’inertie d’un solide
1.3 Mouvement de translation d’un
solide
1.4 Mouvement de rotation d’un solide
autour d’un axe fixe ; vitesse angulaire
2 - Forces macroscopiques s’exerçant
sur un solide
Actions exercées sur un solide ; exemples d’effets produits (maintien en équilibre,
mise en mouvement de translation,
mise en mouvement de rotation,
déformations).
3 - Une approche des lois de Newton
appliquées au centre d’inertie
1ère loi : Principe d’inertie.
Ce principe n’est vrai que dans certains
référentiels.
Ces référentiels sont dits galiléens.
2ème loi : Aspect semi-quantitatif : comparaison
de la somme des forces et de la
variation du vecteur vitesse du centre
d’inertie dans un référentiel galiléen.
3ème loi : Principe des actions réciproques.
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Sur un enregistrement réalisé ou donné,
déterminer et représenter le vecteur
vitesse V d’un point mobile.
Savoir que le vecteur vitesse V est le
même pour tous les points d’un solide
en translation. Savoir que chaque point
d’un solide en rotation autour d’un axe
fixe a une trajectoire circulaire. Pour un
solide en rotation autour d’un axe fixe,
relier la vitesse d’un point à la vitesse
angulaire.
Identifier et représenter les actions qui
s’exercent sur un solide.
Prévoir dans des cas simples la possibilité
de mise en rotation d’un solide
autour d’un axe fixe.
Connaître et appliquer les lois de
Newton :
- Dans un référentiel galiléen, si le vecteur
vitesse VG du centre d’inertie ne
varie pas, la somme F = Σƒ des forces
qui s’exercent sur le solide est nulle et
réciproquement.
- Dans un référentiel galiléen, si le vecteur
vitesse VG du centre d’inertie varie, la
somme F = Σƒ des forces qui s’exercent
sur le solide n’est pas nulle. Sa direction
et son sens sont ceux de la variation de
VG entre deux instants proches.
- A et B étant deux corps, soient FB/A la
force exercée par B sur A et FA/B la force
exercée par A sur B. Quel que soit l’état
de mouvement de A par rapport à B, on a
toujours l’égalité vectorielle : FA/B = FB/A
Analyser un exemple où une force de
frottement sert à la propulsion.
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B - Travail mécanique et énergie
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Identifier les effets sur un solide de forces
dont les points d’application se
déplacent dans le référentiel d’étude :
- modifications de la valeur de la vitesse
d’un solide en chute libre, d’un solide
glissant sur un plan incliné, de la valeur
de la vitesse de rotation d’un solide
autour d’un axe fixe,
- modifications de l’altitude, de la température,
de l’aspect, etc.
Utiliser un tableur et un grapheur.
Étude quantitative des variations de la
valeur de la vitesse d’un corps dans différentes situations * :
- chutes libres avec et sans vitesse initiale
(utilisation de capteurs chronocinés,
de logiciels, de vidéos, etc.),
- satellites en mouvement circulaire uniforme,
- solide lancé sur une table, etc.
Analyse du travail de la force de gravitation
qui s’exerce sur une comète ;
conséquence sur sa vitesse.
Expérience de Joule ou équivalente.
Approche qualitative de la mise en
contact de deux corps à des températures
différentes : évolution vers l’équilibre thermique.
Analyse qualitative des transferts d’énergie
se faisant sur un système déterminé.
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1 - Travail d’une force
1.1 Notion de travail d’une force
Effets possibles d’une force dont le
point d’application se déplace.
1.2 Travail d’une force constante
WAB = F.AB = F.AB.cosα
Unité de travail : le joule (symbole : J).
Expression du travail du poids d’un
corps.
Travail moteur, travail résistant.
1.3 Puissance du travail d’une ou plusieurs
forces
2 - Le travail : un mode de transfert de
l’énergie
2.1 Travail et énergie cinétique
Dans un référentiel terrestre, étude expérimentale
de la chute libre d’un corps au
voisinage de la Terre ; travail du poids :
WAB(P) = Δ[(1/2) MVG
2].
Interprétation énergétique ; définition
de l’énergie cinétique d’un solide en
translation.
Généralisation : pour un solide en
translation soumis à diverses forces :
(1/2) MVB
2 – (1/2)MVA
2 = ΣWAB(Fext).
2.2 Travail et énergie potentielle de
pesanteur
Énergie potentielle d’un solide en interaction
avec la Terre.
Cas particulier des situations localisées
au voisinage de la Terre.
Relation Epp = Mgz.
Transformation d’énergie potentielle en
énergie cinétique dans le cas de la chute
libre.
2.3 Travail et énergie interne
Quelques autres effets du travail reçu
(déformations élastiques, élévation de
température, changements d’état physico-
chimiques).
Notion d’énergie interne.
3 - Le transfert thermique
Un travail reçu peut produire une élévation
de température d’un corps. Une
élévation identique de température peut
être obtenue par transfert d’énergie
sous une autre forme : le transfert thermique
; aspect microscopique.
Autre mode de transfert énergétique :
le rayonnement.
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Connaître quelques effets sur un solide
de forces dont le ou les points d’application
se déplacent.
Exprimer et calculer le travail d’une
force constante.
Savoir que le travail d’une force
constante effectué entre deux points A et
B est indépendant du chemin parcouru.
Utiliser la relation P = W/Δt.
Utiliser l’expression de l’énergie cinétique
d’un solide en translation.
Mettre en oeuvre un dispositif décrit.
Utiliser le fait qu’entre deux positions,
dans un référentiel galiléen, la variation
de l’énergie cinétique d’un solide en
translation est égale à la somme des travaux
des forces extérieures.
Utiliser l’expression de l’énergie potentielle
de pesanteur d’un solide au voisinage
de la Terre.
Expliciter la transformation ’énergie
potentielle en énergie cinétique dans des
cas simples.
Savoir que l’énergie reçue par travail
peut aussi être « stockée » par un corps
dont certaines propriétés physiques ou
chimiques sont modifiées.
Savoir qu’à l’échelle acroscopique, un
transfert thermique se fait spontanément
du système dont la température
est la plus élevée vers celui dont la température
est la plus basse.
Prévoir sur des exemples simples le sens
d’un transfert thermique.
Savoir que le rayonnement est un mode
de transfert de l’énergie.
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La conclusion de l’analyse présentée dans le chapitre s’exprimera sous la forme suivante :
À tout système dans un état donné, on peut associer une grandeur appelée « énergie ». Si l’énergie d’un système augmente
ou diminue, c’est qu’il a reçu ou cédé de l’énergie, que ce soit par travail, par transfert thermique ou par rayonnement. |
III - Électrodynamique
(Durée indicative : 15 heures, 5 TP)
A - Circuit électrique en courant continu
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Interpréter en termes de transferts
d’énergie qu’une lampe brille, qu’une
résistance s’échauffe, qu’un moteur
tourne.
Mesures de tensions et d’intensités dans
un circuit série dans le but de calculer
des grandeurs énergétiques.
Mesure du potentiel électrique de différents
points d’un circuit par rapport à
celui d’un point choisi comme référence ;
tracé d’un diagramme des potentiels le
long d’un circuit.
Inventorier quelques manifestations de
l’effet Joule dans la vie courante.
Analyser l’influence de l’agencement
des composants sur l’énergie transférée
par le générateur au reste du circuit.
Justification de l’utilisation de hautes
tensions pour le transport de l’énergie électrique.
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1 - Transferts d’énergie au niveau d’un
générateur et d’un récepteur
1.1 Énergie électrique We reçue par un
récepteur, traversé par le courant d’intensité
I, pendant Δt :
We = (VA– VB) I Δt avec UAB = (VA– VB) > 0
Puissance électrique du transfert :
P = UABI.
1.2 Effet Joule : applications
1.3 Énergie électrique transférée du
générateur au reste du circuit pendant
la durée Δt : We =(VP– VN) I Δt
(VP– VN) = UPN désigne la différence de
potentiel ou tension entre les bornes
positive et négative du générateur et I
l’intensité du courant qui le traverse.
Puissance électrique du transfert :
P = UPN I
1.4 Bilan du transfert d’énergie pendant
la durée Δt
Un récepteur absorbe une énergie électrique
UAB.I.Δt, en « dissipe » une partie
r.I2.Δt et convertit le reste sous une
autre forme (mécanique, chimique).
Un générateur transforme partiellement
une forme d’énergie (mécanique, chimique)
E.I.Δt en énergie électrique disponible
UPN.I.Δt.
Le complément r.I2.Δt est « dissipé »
sous forme thermique par effet Joule.
2. Comportement global d’un circuit
2.1 Distribution de l’énergie électrique
pendant la durée Δt :
We (générateur) = ΣWe(récepteur)
Justification énergétique des lois d’additivité
des tensions et des intensités (loi
des noeuds).
2.2 Étude des paramètres influant sur
l’énergie transférée par le générateur au
reste d’un circuit résistif :
– influence de la force électromotrice E,
– influence des résistances et de leurs
associations,
– relation I = E / Req,
– puissance maximale disponible aux
bornes d’un générateur, tolérée par un
récepteur.
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Utiliser le principe de conservation de
l’énergie pour faire un bilan qualitatif
au niveau d’un récepteur.
Mesurer une différence de potentiel.
Mesurer l’intensité d’un courant.
Réaliser un circuit d’après un schéma
conventionnel et dessiner le schéma
d’un circuit réalisé.
Savoir que l’effet Joule est un effet thermique
associé au passage du courant dans un conducteur.
Représenter sur un schéma une tension
par une flèche.
Savoir que, dans un circuit où il n’y a
qu’un générateur, le potentiel électrique
est une grandeur qui décroît de la borne
positive vers la borne négative.
Savoir que la grandeur « puissance électrique » permet d’évaluer la rapidité
d’un transfert d’énergie.
Utiliser l’additivité des résistances en
série et des conductances en parallèle.
Faire des prévisions quantitatives lors
de la réalisation ou de la modification
du circuit à partir de la relation
I = E / Req.
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B - Magnétisme, forces électromagnétiques
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Étude documentaire sur l’histoire du
magnétisme et de l’électromagnétisme*.
Expérience de l’aimant brisé.
Comparaison de deux champs magnétiques.
Mise en oeuvre d’expériences montrant
les caractéristiques du champ magnétique
crée par :
– un courant rectiligne ;
– une bobine ou un solénoïde.
Comparaison du champ externe d’un
solénoïde et celui d’un barreau aimanté.
Mise en évidence du champ magnétique
terrestre.
Utiliser la loi de Laplace pour interpréter
qualitativement des expériences telles que :
– barre mobile sur rails,
– action entre courants parallèles,
– mouvement d’une bobine au voisinage
d’un aimant.
Mise en évidence du principe de fonctionnement
d’un haut-parleur électrodynamique,
d’un moteur à courant
continu.
Observer le fonctionnement en microphone,
d’un HP électro-dynamique.
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1 - Champ magnétique
Action d’un aimant, d’un courant continu,
sur une très courte aiguille aimantée.
Vecteur champ magnétique B : direction,
sens, valeur et unité.
Exemples de lignes de champ magnétique
; champ magnétique uniforme.
Superposition de deux champs magnétiques
(addition vectorielle).
2 - Champ magnétique créé par un courant
Proportionnalité de la valeur du champ
B et de l’intensité du courant en
l’absence de milieux magnétiques.
Champ magnétique crée par :
– un courant rectiligne,
– un solénoïde.
3 - Forces électromagnétiques
Loi de Laplace ; direction, sens, valeur
de la force : F = I/Bsin α.
4 - Couplage électromécanique
Conversion d’énergie électrique en énergie
mécanique.
Rôle moteur des forces de Laplace.
Observation de l’effet réciproque associé
au mouvement d’un circuit dans un
champ magnétique : conversion d’énergie
mécanique en énergie électrique.
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Une petite aiguille aimantée permet
d’obtenir la direction et le sens du
champ magnétique dans une petite
région de l’espace.
Les caractéristiques du vecteur champ
magnétique.
Réaliser des spectres magnétiques.
Utiliser une sonde à effet Hall.
Les lignes de champ magnétique se
referment sur elles-mêmes.
Connaître la topographie du champ
magnétique créé par :
– un courant rectiligne,
– un solénoïde.
Savoir que la valeur de B dépend de la
géométrie du courant, de son intensité ainsi que du point de mesure.
Appliquer la loi de Laplace pour évaluer
la force qui s’exerce sur une portion
rectiligne de circuit.
Sur un schéma de principe donné,
représenter la force de Laplace qui
explicite le fonctionnement :
– d’un haut-parleur electrodynamique,
– d’un moteur à courant continu.
Connaître les ordres de grandeur de la
puissance des moteurs électriques
usuels.
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IV - Optique
(Durée indicative : 9 heures, 3 TP)
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Élaborer une réponse aux questions suivantes
:
– Peut-on voir la lumière ?
– À quelles conditions un objet est-il
visible ?
Observation de l’effet d’une lentille
convergente, divergente, sur un faisceau
de lumière parallèle.
Observation et construction de l’image
d’un objet donné par un miroir plan ;
détermination du champ d’observation.
Expérience dite des deux bougies.
Étude documentaire sur le télescope de
Newton (schéma permettant de visualiser
les principales pièces, contexte
historique, etc.)*.
Étude documentaire et expérimentale
d’un instrument d’optique tel que *:
– lunette astronomique,
– lunette terrestre,
– instrument de projection ou de rétroprojection.
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1 - Conditions de visibilité d’un objet
Rôle de l’oeil dans la vision directe des
objets.
Propagation de la lumière : modèle du
rayon lumineuxx ; point-objet.
Lentilles convergentes ; lentilles divergentes.
Critères simples de tri.
2 - Images formées par les systèmes
optiques
2.1 Images données par un miroir plan
Observation et localisation de l’image
d’un objet donnée par un miroir plan.
Point-image conjugué d’un point objet.
Lois de la réflexion.
2.2 Images données par une lentille
convergente
Observation et localisation des images
données par une lentille convergente.
Modélisation géométrique d’une lentille
mince convergente ; centre optique,
foyers ; distance focale, vergence.
Modélisation analytique : relations de
conjugaison et de grandissement des
lentilles minces convergentes.
La loupe.
3 - Un exemple d’appareil optique
Modélisation expérimentale d’un
instrument d’optique simple : lunette
astronomique, rétroprojection, lunette
terrestre ou jumelles, appareil de projection
ou de rétro-projection, etc.
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Savoir que:
– un objet ne peut être vu que s’il est
éclairé ou s’il émet de la lumière ;
– un objet ne peut être vu que si de la lumière
provenant de cet objet arrive dans
l’oeil.
Savoir que lors de la vision d’une image à travers un système ptique, la lumière
issue de l’objet pénètre dans l’oeil après
un parcours non rectiligne et que le cerveau
l’interprète comme venant en ligne
droite.
Localiser expérimentalement une
image.
Déterminer graphiquement la position
et la grandeur de l’image d’un point
objet dans le cas d’un miroir plan.
Schématiser une lentille mince convergente
et indiquer les positions de ses
foyers et du centre optique.
Déterminer graphiquement la position
de l’image d’un point-objet donnée par
une lentille convergente.
Utiliser les relations de conjugaison des
lentilles minces convergentes. Utiliser le
grandissement.
Être capable de faire un montage permettant
de mesurer la distance focale
d’une lentille convegente.
Être capable de prévoir le sens du
déplacement d’une image consécutif à
un déplacement de l’objet.
Comprendre les rôles des éléments
constitutifs d’un appareil d’optique
n’utilisant que des lentilles convergentes
et des miroirs plans.
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PROGRAMME DE CHIMIE
I - La mesure en chimie
(Durée indicative : 16 h de cours, 8 ou 9 TP)
A - Pourquoi mesurer des quantités de matière ?
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Faire émerger la nécessité de la mesure
à partir d’exemples pris dans différents
domaines : surveillance et protection de
l’environnement, analyses biologiques, agroalimentaires, etc.
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À partir d’exemples pris dans la vie courante,
montrer la nécessité de disposer
de différentes techniques de mesure et
sensibiliser au choix d’une technique en
fonction d’un objectif.
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B - Grandeurs physiques liées aux quantités de matière
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
À partir d’une expérience, établir un
bilan de matière. Lors de ce premier TP,
réinvestir les acquis concernant l’emploi
du matériel de laboratoire et les précautions
d’utilisation concernant les « produits ».
Observer les modèles du chlorure de sodium
et du fluorure de calcium.
Mise en solution de solides, de liquides
et de gaz (expérience du jet d’eau) et
mise en évidence des ions par des tests
chimiques.
Préparation de solutions ioniques de
concentrations données à partir de solides
ioniques ou de solutions concentrées.
Expérience d’électrisation mettant en évidence le caractère dipolaire de la
molécule d’eau.
Effectuer une transformation chimique
au cours de laquelle se forme un produit à l’état gazeux. Réaliser, chaque fois
que possible, un test de reconnaissance
des réactifs et des produits.
À température constante, mesurer le
volume du gaz (la pression étant connue)
ou la pression de ce gaz (le volume étant connu).
Utiliser un manomètre absolu ou relatif
pour mesurer la variation de pression
au cours de la transformation.
Calculer une quantité de matière gazeuse.
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1 - Masse, volume, pression
Grandeurs physiques liées aux quantités
de matière solide ou liquide (masse,
volume), et gazeuse (masse, volume,
pression).
Volume molaire d’un gaz parfait à pression
et température connues.
2 - Concentration ; solutions électrolytiques
Solide ionique.
Obtention d’une solution électrolytique
par dissolution de solides ioniques, de
liquides ou de gaz dans l’eau.
Caractère dipolaire d’une molécule
(dipôle permanant) : exemples de la
molécule de chlorure d’hydrogène et de
la molécule d’eau ; corrélation avec la
classification périodique des éléments.
Solvatation des ions ; interaction entre
les ions dissous et les molécules d’eau.
Cas particulier du proton.
Concentration molaire de soluté apporté,
notée c, et concentration molaire
effective des espèces dissoutes, notée
[X].
3 - Applications au suivi d’une transformation
chimique
Évolution d’un système au cours d’une
transformation chimique : avancement,
tableau descriptif de l’évolution et bilan
de matière.
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Choisir le matériel de laboratoire en
fonction d’un objectif et l’utiliser correctement.
Savoir utiliser une documentation pour
connaître les dangers des « produits »
utilisés, pour identifier sur l’étiquette
d’un flacon les phrases de risque et de
sécurité et déduire la conduite à tenir en
cas d’accident.
Connaître l’équation des gaz parfaits :
pV = nRT et l’utiliser pour déterminer
une quantité de matière (n), connaissant
les autres facteurs (p, V et T).
Déterminer la quantité de matière d’un
solide à partir de sa masse et celle d’un
soluté moléculaire en solution à partir
de sa oncentration molaire et du volume
de la solution homogène.
Savoir que, dans un solide ionique, l’attraction
entre un ion et ses plus proches
voisins est assurée par l’interaction coulombienne.
Écrire l’équation de la réaction associée à
la dissolution dans l’eau d’une espèce
conduisant à une solution électrolytique.
À partir des quantités de matière apportées
et du volume de solution, déterminer
la concentration molaire d’une solution électrolytique et la distinguer de la
concentration molaire effective des ions.
Rendre compte du caractère dipolaire de
la molécule d’eau selon la nature des atomes
et la structure géométrique de la
molécule.
Savoir que les ions en solution sont solvatés.
Décrire l’évolution des quantités de
matière dans un système chimique au
cours d’une transformation en fonction
de l’avancement de la réaction.
Déterminer le réactif limitant connaissant
l’équation de la réaction et les
quantités initiales des réactifs.
Prévoir le volume final (la pression
étant connue) ou la pression finale (le
volume étant connu) d’un système produisant
une quantité de matière, n, d’un
gaz à température constante, T.
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C - Comment déterminer des quantités de matière en solution à
l’aide d’une mesure physique ? L’exemple de la conductimétrie
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Réaliser une expérience de migration
d’ions en utilisant un générateur de tension
continue.
Mesurer la résistance et la conductance
d’une portion de solution électrolytique
en utilisant un GBF en mode sinusoïdal,
un ampèremètre, un voltmètre et deux électrodes planes et paralèlles.
Étudier expérimentalement et qualitativement
les effets de quelques grandeurs
d’influence (S, L, c).
Préparer des solutions ioniques de différentes
concentrations en NaCl et tracer
la courbe d’étalonnage G = f(c).
Utiliser cette courbe pour déterminer la
concentration inconnue d’une solution
de NaCl*.
Comparer les conductances de solutions
d’électrolytes courants (à partir de
NaOH, KOH, HCl, NH4Cl, NaCl et
KCl).
Déduire de ces mesures :
– une échelle relative des conductivités
molaires ioniques de quelques ions,
– que la conductance d’une solution de
KOH peut être retrouvée à partir de celles
des solutions de KCl, NaCl et
NaOH prises aux mêmes concentrations.
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1 - Conductance d’une solution ionique,
G
Méthode de mesure de la conductance.
Grandeurs d’influence (température et état de surface des électrodes, surface
des électrodes, distance entre elles,
nature et concentration de la solution).
Courbe d’étalonnage G = f(c).
2 - Conductivité d’une solution ionique, σ
Définition à partir de la relation
G = σ.S/L.
Relation entre σ et c.
3 - Conductivité molaire ionique, λi, et
relation entre les conductivités molaires
ioniques et la conductivité d’une solution
Utilisation d’un tableau des conductivités
molaires ioniques des ions les plus
courants.
Comparaison des conductivités molaires
ioniques des ions H+ (aq) et
HO– (aq) à celles d’autres ions.
Limites de la méthode d’étalonnage.
|
Savoir que la présence d’ions est nécessaire
pour assurer le caractère conducteur
d’une solution.
Relation entre résistance et conductance.
Connaître les grandeurs d’influence (S,
L, c).
Relation entre la conductance mesurée
et la conductivité d’une solution électrolytique.
Réaliser une gamme de solutions de différentes
concentrations à partir d’une
solution mère et tracer la courbe d’étalonnage
G = f(c).
Exploiter cette courbe pour déterminer
la concentration inconnue d’une solution.
Utiliser la relation qui existe entre la
conductivité d’une solution ionique peu
concentrée, les conductivités molaires
ioniques des ions présents et leurs
concentrations molaires.
Interpréter les résultats de mesures de
conductance de plusieurs solutions de
même concentration et possédant un
ion commun.
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D - Comment déterminer des quantités de matière en
solution à l’aide de la réaction chimique ?
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Montrer le passage réciproque de l’acide à la base dans le cas des indicateurs
colorés.
Acides et bases contenus dans des produits
de la vie courante : vinaigre,
détartrant, déboucheur de canalisations,
etc.
Montrer le passage réciproque de l’oxydant
au réducteur en caractérisant
l’oxydant ou le réducteur formé.
Oxydants et réducteurs contenus dans
des produits de la vie courante : eau de
Javel, eau oxygénée, acide ascorbique,
etc.
Utiliser la conductimétrie pour le dosage
d’un détartrant par une solution de
soude ou le dosage d’un déboucheur
d’évier par une solution de chlorure
d’hydrogène (acide chlorhydrique).
Dosage des ions fer(II) par les ions permanganate
en milieu acide, ou du diiode
par les ions thiosulfate. Intervalle de
confiance d’une mesure en vue d’estimer
la précision d’un dosage.
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1- Réactions acido-basiques
Exemples de réactions acido-basiques
comme réactions impliquant des transferts
de protons.
À partir de l’écriture de chacune des
réactions, faire émerger la définition
d’un acide et d’une base au sens de
Brønsted.
Quelques acides et bases usuels.
Couple acide/base.
Couples de l’eau :
H3O+/H2O ; H2O/HO – (aq).
L’eau est un ampholyte.
2 - Réactions d’oxydoréduction
Exemples de réactions d’oxydoréduction
comme réactions impliquant des
transferts d’électrons.
À partir de l’écriture de chacune des
réactions, faire émerger, dans des cas
simples, la définition d’un oxydant et
d’un réducteur.
Couple oxydant/réducteur.
Mise en évidence de la nécessité d’une
méthode et d’un formalisme pour écrire
l’équation d’une réaction d’oxydoréduction.
Utilisation du tableau périodique pour
donner des exemples de réducteurs (les
métaux) et d’oxydants parmi les nonmétaux
(dihalogènes et dioxygène).
3 - Dosages (ou titrages) directs
La réaction chimique comme outil de
détermination des quantités de matière.
Utilisation d’un tableau décrivant l’évolution
du système au cours du dosage.
Équivalence lors d’un dosage.
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Définir un acide et une base au sens de
Brønsted.
Connaître quelques couples acide/base
et y reconnaître l’acide et la base :
– H3O+/H2O.
– H2O/HO – (aq).
– NH4+ (aq)/NH3 (aq).
– CH3CO2H (aq)/CH3 CO2 – (aq).
Savoir écrire l’équation d’une réaction
acido-basique.
Définir un oxydant et un réducteur.
Reconnaître l’oxydant et le réducteur
de quelques couples :
– H+ (aq)/H2 (g).
– Mn+ (aq)/M(s) (cation métallique/métal).
– Fe3+ (aq)/Fe2+(aq).
– MnO4 – (aq)/Mn2+ (aq),
– I2 (aq)/I – (aq),
– S4O6
2– (aq) /S2O3 2– (aq).
Savoir écrire l’équation d’une réaction
d’oxydoréduction.
Savoir définir l’équivalence lors d’un
dosage ; en déduire la quantité de matière
du réactif dosé. Estimer la précision
du dosage (justification du nombre
de chiffres significatifs employés).
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II - La chimie créatrice
(Durée indicative : 11 h de cours, 4 ou 5 TP)
A - La chimie organique : de sa naissance à son
omniprésence dans le quotidien
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Travail documentaire* :
– composition des espèces chimiques
organiques (importance quantitative
des éléments C et H principalement),
– histoire de la chimie organique sous
l’angle des découvertes et des hommes,
– mise en évidence de la multitude et de
la diversité des molécules en chimie
organique (nombre de molécules, nombre
d’espèces organiques synthétisées
chaque année, etc.),
– importance économique de la chimie
organique.
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1 - Qu’est-ce que la chimie organique ?
Cerner le champ de la chimie organique.
Ressources naturelles : photosynthèse,
synthèses biochimiques et hydrocarbures
fossiles.
2 - Le carbone, élément de base de la
chimie organique
Comment l’atome de carbone établit-il
des liaisons avec d’autres atomes ?
3 - Quelques dates dans l’histoire de la
chimie organique
4 - L’omniprésence de la chimie organique
|
Savoir que les molécules de la chimie
organique sont constituées principalement
des éléments C et H.
À l’aide des règles du « duet » et de l’octet,
décrire les liaisons que peut établir
un atome de carbone avec ses atomes
voisins.
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B - Apprendre à lire une formule chimique
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Expériences visant à montrer l’importance
du squelette carboné, du groupe
caractéristique et leur rôle respectif sur
les propriétés physiques et chimiques :
tests de solubilité, tests de caractérisation.
Travail documentaire de sensibilisation
aux différentes représentations de molécules
(y compris des molécules biologiques
en lien avec le programme de SVT)
faisant apparaître différents types de
squelettes et faisant émerger la notion
de groupe caractéristique*.
Éléments de nomenclature, isomérie
(en se limitant aux alcanes comportant
une chaîne de 6 atomes de carbone au
plus et aux molécules de type CHA =
CHB), modèles moléculaires et logiciels
de simulation*.
Activités documentaires, utilisation de
cédéroms, vidéos et expériences de
cours permettant d’illustrer les transformations
des pétroles (par reformage,
craquage catalytique et vapocraquage)
et la polymérisation en spécifiant les
produits obtenus (carburants et polymères)
ainsi que leurs nombreuses
applications*.
Illustration expérimentale du champ de
réactivité des alcools.
Synthèses permettant de réinvestir et
d’acquérir des techniques expérimentales
au laboratoire et d’illustrer la réactivité
de molécules sous l’angle du passage
d’un groupe à un autre avec caractérisation
du groupe obtenu.
Applications industrielles.
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1 - Introduction
Une molécule organique comporte un
squelette carboné et, éventuellement,
des groupes caractéristiques.
2 - Le squelette carboné
a) La diversité des chaînes carbonées
– Chaîne linéaire, ramifiée ou cyclique
saturée et insaturée.
Formule brute, formule semi-développée
plane, approche de l’écriture topologique,
isomérie de constitution mise
en évidence sur quelques exemples
simples de l’isomérie Z et E.
– Influence de la chaîne carbonée sur les
propriétés physiques : température
d’ébullition, densité, solubilité (les exemples
sont pris sur des chaînes saturées).
– Application à la distillation fractionnée.
b) La modification du squelette carboné
Allonger, raccourcir, ramifier, cycliser
ou déshydrogéner à partir de quelques
applications industrielles : chimie du
pétrole, polyaddition des alcènes et des
dérivés éthyléniques.
3 - Les groupes caractéristiques : initiation
a) Reconnaître les familles de composés :
amine, composé halogéné, alcool, aldéhyde,
cétone, acide carboxylique.
b) Illustrer la réactivité des alcools :
oxydation, déshydratation (élimination),
passage aux composés halogénés
(substitution).
c) Passage d’un groupe caractéristique à
un autre : quelques exemples au laboratoire
et dans l’industrie.
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Reconnaître une chaîne carbonée saturée
linéaire ou non.
Donner le nom des alcanes (en se limitant
aux alcanes comportant une chaîne
de 6 atomes de carbone au plus).
Reconnaître la présence d’une liaison
double sur une chaîne carbonée (alcènes
et dérivés éthyléniques).
Donner les formules brute et semi-développée
d’une molécule simple.
Prévoir les isomères de constitution
d’une molécule à partir de sa formule
brute (en se limitant aux alcanes comportant
une chaîne de 6 atomes de carbone
au plus).
À partir d’un monomère CH2 = CHA, écrire le motif du polymère obtenu par
polyaddition :
——( CH2 – CHA — )— n
Au vu de la formule développée plane
d’une molécule, reconnaître les familles
de composés suivantes : amine, composé
halogéné, alcool, aldéhyde, cétone et
acide carboxylique.
Lors de la réaction d’un alcool, reconnaître
s’il s’agit d’une réaction d’oxydation,
de déshydratation (élimination) ou
de substitution.
Connaître les familles de composés
obtenus par oxydation ménagée d’un
alcool.
Écrire la réaction d’oxydation d’un
alcool par les ions permanganate en
milieu acide.
Mettre en oeuvre au laboratoire une
extraction par solvant, un chauffage à
reflux, une filtration sous vide, une
CCM, une distillation en justifiant du
choix du matériel à utiliser.
Déterminer la valeur du rendement
d’une synthèse.
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III - L’énergie au quotidien : la cohésion de la matière et les
aspects énergétiques de ses transformations
(Durée indicative : 4 heures de cours, 1 ou 2 TP)
Exemples d'activités |
Contenus |
Connaissances et savoir-faire exigibles |
Observation d’effets thermiques associés
à des transformations chimiques
(mettant en jeu des réactions acidobasiques,
d’oxydoréduction, de dissolution
ou de combustion) et à des changements
d’état.
Comparaison des ordres de grandeur de
l’énergie libérée au cours d’une réaction
de combustion et de l’énergie transférée
au cours d’une réaction de vaporisation.
Applications dans la vie quotidienne
des effets thermiques associés à différentes
transformations.
Activités documentaires liées aux combustions,
par exemple dans les moteurs à explosion et les centrales thermiques à
flamme (rejets, sécurité, etc.)*.
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1 - La cohésion de la matière
La molécule : assemblage d’atomes ; énergie de liaison d’une liaison AB,
notée D AB.
Les assemblages de molécules : le solide
et le liquide comparés au gaz (ordre de
grandeur des distances entre les molécules
; de l’ordre au désordre) ; énergie de
cohésion.
2 - Les transformations de la matière :
aspects énergétiques et effets thermiques
associés
Transformations chimiques.
Changements d’état.
Utiliser les énergies de liaison pour estimer
l’ordre de grandeur de l’énergie
transférée au cours d’une réaction mettant
en jeu des espèces chimiques à
l’état gazeux.
3 - Quelques applications au quotidien
des effets thermiques
Transports et chauffage : enjeux et
conséquences sur l’environnement.
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Être capable de donner une définition
de l’énergie de liaison.
Savoir que l’énergie de cohésion de solides
ou de liquides composés de molécules
est un ordre de grandeur plus faible
qu’une énergie de liaison.
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* Activités pouvant donner lieu à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication.
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